Elle a en effet planté, dans un terrain auprès de l’établissement dont elle est propriétaire, 20 frênes, variété populaire au large tige et facile à cultiver, et 50 paulownias, arbre moins connu aux floraisons ornementales ayant comme caractéristique considérable celle d’absorber plus de CO2 que n’importe quelle autre plante. Un hectare de terrain planté d’arbres de paulownia est en mesure d’absorber de 32 à 36 kilogrammes de CO2 tous les douze mois.
Le but est d’envoyer un signal fort en termes de réduction de Carbon Footprint.
La dite “empreinte carbone” est en effet un paramètre utilisé pour l’estimation des émissions de gaz à effet de serre exprimée en moyenne en tonnes d’oxide de carbone produit par les services humains. Le fait de calculer l’empreinte carbone produite par les entreprises et avoir conscience d’elle est particulièrement significatif et porte à déterminer la quantité de CO2 que ces activités renvoient dans l’atmosphère.
Il s’agit d’un premier pas de l’ensemble du processus de compensation utile à la création de projets ayant pour but d’absorber les émissions de dioxyde de carbone et à parvenir à la Carbon Neutrality ou à la Net Zero, c’est-à-dire à la neutralité carbone.
Pour compenser les émission de CO2 résultant de l’activité humaine on peut élaborer diverses mesures. On va de la réduction de la consommation d’énergie, si possible et, surtout, des gaspillages d’énergie électrique jusqu’au reboisement ou à la sauvegarde de forêts menacées avec une attention particulière pour les areas les plus à risque de la planète. On contribue ainsi à l’atténuation du changement climatique.
Entre ces possibles initiatives l’entreprise IREM a choisi de créer un bosquet pour implémenter des stratégies de durabilité d’entreprise visant à la compensation du CO2 libéré dans l’atmosphère.